Les premières missions humaines sur la Lune sont envisagées à horizon 2026 avec une présence durable en autonomie dès 2030
200 fois le taux de rayonnement à la surface de la Terre
Amplitudes thermiques : de +120°C le jour à -170°C la nuit voir -230°C
Poussière lunaire (« régolithe ») omniprésente : magnétique, poreuse, tranchante et allergène
Gravité six fois plus faible que sur la Terre
Absence d’atmosphère : en prise directe avec la chaleur solaire
À 3 jours de vol habité de la Terre : obligation d’utiliser les ressources in-situ
cartographier et quantifier les ressources essentielles disponibles sur la Lune
permettre l’installation des futurs travailleurs lunaires sur une base autonome au fonctionnement frugal, local et circulaire
comprendre et anticiper les risques qui pèsent sur la santé d’un équipage devant vivre plusieurs mois dans un environnement hostile
Partenaire de l’incubateur TechTheMoon, le MEDES, institut de médecine et de physiologie spatiales basé à Toulouse, effectue notamment des études sur le déconditionnement musculo-squelettique et cardiovasculaire et les effets psychologiques du confinement à long terme.
Lors de la mission ISS Proxima, le CNES, en partenariat avec la société BioMérieux, a testé une technologie de détection de la contamination microbienne de l’eau, Aquapad. La technologie a trouvé un applicatif sur Terre pour la détection du choléra dans des endroits à haut risque.